Contenus en rapport avec le mot-clé économie de marché

La déconstruction de l’ordre mondial n’est pas durable. Mais elle va obliger les chefs d’entreprises et les partis politiques à trouver des solutions alternatives pour répondre aux dysfonctionnements imputables à l’économie mondiale.

Les réformes annoncées par le régime de Pékin traduisent une véritable inquiétude sur l’avenir de la Chine. Xi Jinping essaie tous les moyens pour relancer la machine économique, sauf les outils libéraux. Un modèle économique fondé sur l’économie de marché ne peut fonctionner qu’à condition qu’il laisse de la liberté aux agents.

L’économie de marché et la démocratie sont sœurs, écrit Pierre Louette, le PDG du groupe Les Échos-Le Parisien. Il a raison, sauf que les acteurs de l’économie de marché fonctionnent très bien dans les États autoritaires… et c’est un vrai problème…

Le monde des affaires cherche à relancer les pratiques de l'économie de marché. La France peut retrouver sa puissance si la politique dissuade l'opinion de céder aux tentations de l'extrémisme. Les chefs d'entreprise comptent sur Michel Barnier pour rétablir un ordre libéral.

Le Monde présente le libéralisme économique comme une foi théologique qui ne repose sur rien de rationnel et lui ôte donc toute crédibilité scientifique.

Longtemps, les projecteurs - non sans raison mais peut-être de manière disproportionnée - ont été braqués sur l'inflation par les profits. Peu à peu, une autre inflation commence à faire son apparition : l'inflation des prix administrés.

Tous les chefs d’entreprises qui connaissent bien la Russie savent que la Russie peut difficilement se convertir aux contraintes de la démocratie occidentale. Son modèle économique est celui d’un pays vivant sur ses richesses naturelles, donc aucun intérêt à entrer dans le champ de la concurrence de marché.

La Chine, la Russie et l’Iran prouvent qu’ils ne pourront pas survivre longtemps sans respecter les règles de l’économie de marché. Le capitalisme n’est pas nécessaire ? Les règles de l’économie de marché, oui.

Entre la « toxicité » de l’économie de marché, l’oppression du capitalisme, les perversions écologiques de la croissance, etc. la vie moderne est semée d’idées fausses que l’école française n’ose même plus pourfendre.

Va-t-on enfin dénoncer sur le fond ce que contient ce pseudo programme idéologique et économiquement mortifère de Jean-Luc Mélenchon ? Aujourd’hui les français et les entrepreneurs continuent de regarder la télé se disant que de toutes les façons la pub : « Élisez-moi premier ministre » du nouveau président des NUPES (Nouvelle Union Populaire écologique et populaire) n’est qu’un sketch à ne pas prendre au sérieux.

Les régimes autoritaires peuvent utiliser l’économie de marché, mais les dictatures finissent par la tuer parce qu’elles en ont peur. On a souvent cru que l’économie de marché pouvait faciliter l’arrivée d’une démocratie. Il faut relire Karl Marx

Selon de nombreux sondages, dont un récemment diffusé par Elabe, le pouvoir d’achat est la première préoccupation des Français.

Si les partis traditionnels se bousculent au portillon de la candidature pour la présidentielle, aucun des chefs possibles ne prendra ouvertement le parti de l’entreprise privée, alors que le fonctionnement de l’économie de marché est au cœur du réacteur de la planète.

Partout dans le monde, des USA à la Chine, en passant par l’Europe, tous les grands acteurs de l’économie de marché révèlent un besoin d’équipements collectifs que le système financier international est incapable de financer...

L'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, invité de David Pujadas sur LCI mercredi 12 juin, a affirmé que "le vrai clivage est aujourd'hui entre libéraux et anti-libéraux".

C’est à longueur de journée qu’à la veille des élections européennes on nous ressasse, sur les ondes et les réseaux sociaux, cette formule à l’emporte-pièce : L’Europe est ultra-libérale. Qu’en est-il vraiment ?

Les États-Unis accélèrent, la Chine décélère : qui explose d’abord ? Les États-Unis croissent toujours au-dessus de leur potentiel, 3% pour la Maison Blanche, 1,5% pour le FMI. Ils avancent de 4,2% (annualisés) au deuxième trimestre aux États-Unis et devraient continuer, soit à 3% en moyenne.

Le Parlement cubain a voté en faveur de la promulgation d'une nouvelle constitution qui reconnaît l'économie de marché et le droit à la propriété privée.

En l'état, aucune force politique n'apparaît capable de changer en profondeur le système qui caractérise nos sociétés occidentales, reposant sur l'économie de marché et le capitalisme.

Les choix économiques faits par Hugo Chavez à partir de 2003-2004 ont précipité le Venezuela dans la situation catastrophique qui est aujourd'hui la sienne.